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Unmarried, what else ?

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28 août 2013

Rien

J'plongerai bien dans un jacuzzi, j'aimerai beaucoup avoir un calin. Petit coup de fatigue morale et physique, journée compliquée.

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27 août 2013

Les vertiges de l'amour

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Les vertiges de l'amour, c'est un livre de Gemma Townley, globalement assez drole.

Cette nana célibataire, Jessica Wild, plutot intello et plein de préjugés, visite souvent sa grand mère à la maison de retraite (elle l'a elevé), puis rencontre une autre vieille dame, Grace, qui très vite, après la mort de sa grand mère, va devenir son amie. Grace, plein d'attente et de sagesse envers sa protégée, va manipuler Jess jusqu'à la culpabilité, où elle s'inventera une romance et même un mariage avec son patron, Anthony, pour faire plaisir à la vieille dame. S'en suit une deferlante d'evenements basés sur le mensonge, de situations loufoques et parfois très cocasses pour Jess et son entourage.

Mon avis perso : Bien que j'ai beaucoup ri, souvent j'ai eu envie de dire à Jess combien elle était coconne et molassonne dans les actions à entreprendre dans sa vie, mais c'est son personnage, une fille sage, très sage... Quant à la fin de l'histoire, je l'avais présagé dès le début. Alors heureusement, beaucoup de suspens et de rebondissements qui m'ont donné envie de lire ce livre en entier, une bonne tranche de rire et une histoire, au final, facilement imaginable joué en comédie sentimentale avec Hugh Grant.

 

 

27 août 2013

Monsieur PEF - 2

Je suis dans la m**** !

Je voulais me lever tot ce matin, aller courrir (ou plutot marcher, c'est courrir à un rythme plus lent et moins douloureux pour les genoux) mais j'ai préféré dormir jusqu'à 11h. Même Bridget Jones avait plus de volonté que moi. Ensuite, j'ai voulu sortir en ville cet après midi. Mais plusieurs envies s'offraient à moi, ayant la flemme d'aller à un bout puis à l'autre bout de la ville (Chez Cultura pour acheter encore un livre et trainer dans les rayons, j'adore ça et puis sait on jamais..., sortir au ciné voir Imogène ou Les Salauds, et le reste, je m'en souviens plus) j'ai préféré rester devant la télévision à regarder le film de l'aprèm sur M6, tout en faisant mes ongles (rose fushia aux pieds, taupe aux mains, ça vous interesse ?).

J'ai même pas lu de la journée, journée glandage totale.

Dans la matinée, j'ai pris le temps de renvoyer un mail à Monsieur PEF (si si, l'agent administratif je ne sais quoi bref dont j'avais parlé dans un autre article) car il ne semblait pas decidé à repondre à mon mail de la semaine dernière. Je lui demandais juste une information concernant quelques phrases à ajouter dans un document, et voilà qu'il me propose, après avoir enfin repondu, et ce, sans excuse de retard :

Petit a) De lui envoyer la totalité, même non terminé, afin qu'il ajoute lui même ses points d'amélioration

Petit b) Convenir d'un autre rendez vous avec lui, si je préfère.

Je n'ai absolument pas fait le document, il n'est absolument pas long à faire, mais me voila bien ridicule si je peaufine ce truc uniquement pour lui taper dans l'oeil.

Musique : Eliott Smith.

26 août 2013

Le caissier, ouquand j'ai imploré Dieu.

Les contes de fées n'apportent vraiment rien de constructif, ni les romans à l'eau de rose, ni les comédies sentimentales (que je dévore en ce moment).

Tout commençait vendredi 16 aout, une semaine où j'étais fortement désespéré pour cause de séparation amicale sans explication. J'allais alors en fin d'après midi faire quelques courses au Lidl du coin, sans grand entrain, mais je recevais ce soir là mon amie Céline pour une soirée fille - où je devais faire des crêpes, nous allions manger des bonbons, regarder Twilight et bien sûr, nous faire des masques et les ongles - J'étais alors dans ce magasin puant la merde (il faut le dire, je sais pas ce qui est entrain de pourrir, mais l'entrée donnant directement dans le rayon légumes / fruits est à mourir de puanteur). Je passe donc dans un rayon, puis dans un autre, j'arrive à la caisse, peu de place pour choisir sa caissière on son caissier puisque seulement deux caisses étaient ouvertes - J'aime bien choisir les caissiers - Mais ce jour là, j'oubliais de faire attention à qui aller encaisser mes courses après avoir lamentablement regarde mon régime hypersucré et chocolaté qui laissait présager que j'étais non seulement une boulimique compulsive mais également une célibataire qui ce jour là, n'avait visiblement pas envie de faire des efforts culinaires. De plus étant en rade de rasoir, il m'en fallait un de toute urgence, et il n'y avait que des rasoirs pour hommes et je me suis mise à penser qu'il allait lui même penser qu'en achetant un tel rasoir, j'avais certainement un homme à la maison - Il était blond, un piercing à l'arcade, des yeux bleus de fous, un tatouage à l'interrieur du bras. Jusque là, ça allait encore. Jusqu'au moment où ce fut mon tour de passer mes articles, on s'est regardé. Plusieurs fois, il a fait preuve d'une extrême lenteur en passant mes articles et en m'annonçant le prix, jusqu'à revérifier 3 fois le prix d'un article, sans doute pour mieux me voir, mais ça c'est moi qui me fais des idées. Non le temps était certainement plus long parce que j'étais en alerte sur chacun des détails. J'ai payé, je suis partie, mais à ce moment là, il m'a lancé le regard qui tue, le sourire de l'enfer. Il m'en fallait peu pour être heureuse.

Vendredi 23 août.

J'avais presque oublié le caissier (perturbée par l'agent territorial et notre rendez vous). Je retournais faire mes courses vendredi dernier, cette fois si, je m'étais préparée, j'avais mi une belle robe noire mais assez classique, que je portais avec des tongs et un sac baba cool pour casser le coté sobre de cette robe. J'avais également pris soin de mettre des bracelets de cheville (je me sens sexy dedans) et de porter mes nouvelles lunettes d'hipster intello, pour mieux voir de loin s'il était là mais certainement pour cacher un peu ma timidité et tenter de masquer - en rien du tout - mes éventuelles rougeurs qui ne tarderaient pas à venir.

Je faisais mes courses et m'empressait d'arriver à sa caisse quand soudain, avant même de me mettre en file d'attente, il a disparu de mon champs de vision. [...] Je venais alors durant tout l'après midi, de regarder une comédie sentimentale où une jolie nana rêvait de vivre un conte de fée, qui après avoir imploré dieu, a pu vivre son conte de fée. J'ai tout connement fait pareil [...]. Je me rallie donc à la caisse la plus proche du mur (Ce mur où il y a toujours une grande vitre noire qui ne sert pas tant de mirroir que pour être observé par derrière). Un gentil vieux me laisse passer parce que mes courses sont plus lourdes que celles dans son caddie, je paye, tourne le dos à la porte qui mène à cette sombre salle derrière la vitre noire. Quand je me retourne pour partir, je manque de rentrer dans un homme, qui s'arrête à temps. C'est lui !! c'est lui. C'est lui. Alors, comme je n'avais pas encore bien rangé ma carte bleue dans mon sac, je reste sur place prétextant que j'étais entrain de fouiller dedans (le sac à main, pas dans le mec) et c'est alors que ce mec avance. J'en crois pas trop mes yeux, le hasard fait bien les choses tout compte fait. Mais je ne savais pas quoi trouver pour entamer la conversation. J'avance alors doucement, lui entre temps s'était arrété deux secondes interpellé par une de ses collègues. J'avance le plus lentement possible pour le regarder. Il parait moins charmant vu de dos, il lui manque quelques cheveux, et j'avance encore. Jusqu'à lui passer devant, non sans le frôler. J'avance alors avec la démarche la plus jolie possible, puis je m'arrete pour fouiller à nouveau dans mon sac, saisir mes clées de voiture, je re avance. Je me tourne, personne.

Morale : Dieu existe et je ne sais pas saisir les opportunités, je me fais des idées, ou il avait longuement gardé en tête la fille aux yeux bleus et au gros tatouage sur la jambe droite après l'avoir vu, vendredi dernier.

26 août 2013

Monsieur PEF - 1

Tout à commencé mardi 6 aout. C'était une journée où je cumulais pas moins de 3 rendez vous, dont deux avec un inconnu qui n'en etait pas moins un agent du service publique (pour ne pas préciser son métier, ne sait-on jamais, l'anonymat n'est jamais trop sûr), et un autre avec mon médecin, tout du moins, le remplaçant de mon médecin habituel, qui a un charme fou (le fait qu'il soit médecin y est certainement pour beaucoup). Oui mais voilà, le premier rendez vous fût annulé sans que je n'en sache rien, j'étais déçue mais le rendez vous fût reporté à deux semaines après, ce qui nous projette à la semaine dernière, dans le calendrier actuel des choses.

J'avais donc rendez vous à 9h avec cet homme dont j'ignorais tout, sauf sa couleur de peau, au vu de son nom et prénom dont je ne différenciais que dalle. J'arrivais donc en mini jupe noire et droite, et un haut noir, sur lequel je m'appercevais à la dernière minute que du dentifrice était tombé sur le col (je fais tout le temps ça sans m'en appercevoir, je me brosse les dents avant de partir et hop, voilà que je renverse du dentifrice, une belle tache blanche non identifiable pour mon interlocuteur). Je prend place dans la salle d'attente et j'apperçoi alors le seul black, de dos, je l'entendais parler : Il etait assis d'une allure sûre, très à l'aise, une voix dynamique, jeune. De dos déjà, il me paraissait follement sexy. Je commençais déja à rougir sans même lui avoir parlé. Dans ma tête se bousculaient une tonne de situations et de répliques pré-conçues. Il se leva alors pour m'appeler et démarrer notre entretien. Je pense l'avoir dévoré des yeux durant 40 minutes, je sais pas en fait si c'était si flagrant que ça. Mais il était à l'aise, il plaisantait, j'en faisais de même, bien qu'après un instant de recul, je me trouvais vraiment idiote.

Impossible de trouver quoi que ce soit sur internet en tapant son nom, soit il est particulièrement malin et a un super pseudo de la mort qui tue, soit il a souscrit un contrat chez Axa Assurance afin d'effacer toutes les données qui pouvaient le concerner. Soit il est marié, a des enfants, et internet ainsi que les réseaux sociaux sont à des années lumières de sa vie. J'ai pas pensé à regarder s'il avait une alliance (j'y pense jamais !). Je sais juste que de la seule info que j'ai trouvé sur lui, il a 35 ans, et faisait (ou fait encore) du basket.

Il m'a alors donné son adresse mail afin de lui faire part de questions en tout genre concernant le pourquoi du comment de l'entrevue. J'ai donc attendu un jour ou deux avant de lui soumettre une question banale pour m'aider à rédiger un document. J'ai reçu l'accusé de lecture le lendemain. Et depuis j'ai dû ouvrir ma boite mail pas moins de 50 fois. Le bougre n'a toujours pas répondu. Nous en sommes à J + 3, en ne comptant que les jours ouvrés.

J'hésite alors à lui faire un simple bonjour explicitant une remarque hautement pertinente sur sa non réponse et donc, son non professionnalisme quant au suivi de ses "collaborateurs" mais j'ai peur d'être attaqué en justice pour outrage à agent (non, ce n'est pas un policier, mais il fait tout de même partie de l'administration).

 

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26 août 2013

Liste #1

Films à voir au ciné : Alabama Monroe, Les salauds.

Je ne sais où : La merditude des choses (le même réalisateur qu'Alabama Monroe, et je kiffe bien les titres...).

Livres à acheter : Desert Pearl Hotel, Petits suicides entre amis, Je suis noir et je n'aime pas le manioc.

Dernier livre lu : Les vertiges de l'amour de Gemma Tonwley

Livre actuel : Demain j'arrête ! De Gilles Legardinier.

Articles à écrire : Les pires moments sexuels. Les rencontres les plus louffoques. Les sites de rencontres. Mon cv amoureux (en fait je ne suis pas sûr, c'est vachement long de raconter Dallas).

26 août 2013

Etat des lieux. Acte un, Moi.

J'ai bientôt 26 ans, je suis passionnée par un tas de choses que j'entreprend mais ne termine pas toujours. Grande reveuse (surtout depuis que je suis seule et que j'en ai marre de l'être), j'ai également dû écumer tous les sites de rencontres possibles sur internet (d'ailleurs cela fera l'objet d'un article !). Je crois être assez intelligente, parfois trop, ce qui me donne ce petit côté "sans surprise", cynique, et trop prévoyante. Voir trop observatrice. Je crois qu'en fait je laisse très peu de place au hasard, bien que je l'adore, ce con de Hasard, mais malgré toutes mes rencontres, si je ne veux pas aller plus loin, c'est que je vois d'emblée trop de choses qui clochent, des détails, de langage, de tenue vestimentaire, de port de la tête, jusqu'à dans la façon de tourner les yeux, de parler, d'ouvrir la bouche. Tout. Absolument tout me dit tout sur tout. Je m'explique : Un détail va en quelque sorte être décrypté puissance 3 et me donner le résultat, qui va en découler, le comment du pourquoi et bref, tout de suite là comme ça : Cet homme si charmant assis devant moi entrain de parler, est comment dire.. devenu complètement inintéressant. (Quand je vous dit que je le célibat est une névrose).

Bref coninuons l'état des lieux :

Cela fera 3 ans que je suis célibataire le 23 décembre 2013. (J'aime aussi faire dans l'original, le tragique, marquer à vie, m'voyez...). Bien sûr, j'ai eu des tas d'autres relations depuis, une de 6 mois, une de 1 mois, une de 2 mois, des tonnes d'un soir. Rien de serieux en sommes.

Mon métier ne m'a jusqu'à présent pas aidé à rencontrer beaucoup d'hommes : j'ai été aide médico psychologique durant deux ans, en Ehpad (maison de retraite). Entourée de mes petits vieux, j'avais l'impression que j'allais terminer comme eux, vieille, crade, seule et sénile. C'est pourtant aussi la période où j'ai eu le plus de plans culs d'un soir, pulsion morbide certainement. (Nous revoilà à la nevrose, encore elle...).
Si c'est sur le lieu de travail que l'on peu rencontrer l'âme soeur, croyez moi, c'est pas mes résidents qui m'en donnaient l'envie. Ni mes collègues d'ailleurs. Que des femmes, certains hommes, tous en couples ou coureur de jupons mais surtout très moche et très jeune. Ce qui accentuait ma timidité, car étant toujours la seule parmi mes collègues à être célibataire, et bizare (disons le, car je ne me mêle que très peu aux conversations de machine à café) je rougissais pour un rien, croyant que l'autre pouvait croire que j'avais des vues sur lui. Pathétique. Bref ensuite, les seuls hommes qui potentiellement auraient pu m'interesser, étaient les ambulanciers qui allaient et venaient. Ainsi que quelques jeunes medecin et kinésithérapeutes. De là est né mon fantasme sur les médecins et les kinés (celà fera aussi l'objet d'un article plus tard). 

J'ai donc arrêté de travailler il y a bientôt trois mois, pour prendre du temps pour moi. Après tout c'est l'été, il faut prendre du bon temps, s'amuser. Sauf qu'il s'agit de l'été le plus merdique que je n'ai jamais passé. Et aussi mes dernières "vacances", puisque j'entame dès septembre une formation pour devenir éducateur spécialisé.

Mon été :

Pas de vacances, soucis financiers, puis seule : Comment voulez vous partir seule et partager les frais avec... vous même ?! Impossible. Quand un premier amis vous laisse tomber toutes les veilles de week end ou de sorties prévues pour des raisons bidons : A force, vous l'ignorer. Lui même ne semblant pas se préocuper de ce soudain manque d'interêt à son égard, on ne va pas forcer les choses. Deuzièmement, quand votre meilleur ami est dans une passe conjugale (depuis des années) des plus merdiques, commence à mentir à tout le monde et vous y compris, parce qu'il ne sait pas ce qu'il veut dans son couple. Vous le prenez comment ? Moi, mal. Alors je l'envoi chier. Quand d'autres potes (y compris le meilleur ami de votre meilleur ami que vous venez d'envoyer chier) vous envoie chier également, ou plutôt, vous zappe durant la seule semaine de vacance où il était possible de vous voir, vous faites quoi ? Vous pleurez durant une semaine, en vous occupant le plus possible et en ne pensant surtout pas aux super moments que vous auriez pu passer avec cette bande de potes extraordinaires absolument cons. Vous êtes de nouveau seule. Quand, durant cette semaine, pour vous changer les idées, vous accepter de passer le week end avec un très bon copain que vous connaissez depuis des années et qui est amoureux depuis des années mais vous pensez qu'il a enfin compris que lui et vous, c'est de la pure fiction... Tout va bien. Jusqu'à ce qu'il vous dise "je t'aime" et vous zappe à nouveau de sa vie parce qu'il est tellement... instable (oui oui, instable, c'est vraiment le mot). (Et n'insistez pas, pour une fois que quelqu'un m'aime, je sais, mais physiquement, c'est absolument I.M.P.O.S.S.I.B.L.E., surtout quand passé les 40 ans le monsieur, pourtant fort intelligent, se traîne une mentalité de vie d'un ado de 15 ans).
Mes amies filles ? Et bien, celle que je considère comme ma soeur habite à 4 ou 5h, voir plus, de chez moi. J'ai ici deux copines, une qui est presque ma voisine. On se voyait souvent jusqu'à ce que son ventre grossissant me vexait intérieurement, et passer les soirées en trouble : Dans son couple et moi à part, se mette à me vexer encore plus. Décidant que cela ne m'apportait rien de bon, j'ai arrêté de la voir. Hors son bébé est né il y a quelque jours, et il faudra bien que je me force un peu (j'ai surtout peur de partir de cette rencontre en pleurant comme une madeleine). Une autre copine récente, avec qui je m'entends très bien, on se fait régulièrement des soirées filles, des sorties, mais elle est aussi mariée, 3 enfants, et ses invitations repas ne se passent qu'entre moi, et sa famille. Difficile pour faire des rencontres, n'est-ce pas ?

26 août 2013

Sur le blog

Pour commencer je vais faire un état des lieux, de ma personne, de mes ex, de ma situation, de mon mental. Tous les jours j'essairai d'ecrire un petit quelque chose sur mon etat d'esprit, sur comment je me bouge le cul pour faire quelque chose, sur mes journées, car je ne vais peut être pas faire que parler de mon célibat, mais d'un tas d'autres trucs qui peuvent me concerner.

J'hésite aussi à faire des rubriques sur mes lectures, mes sorties, certains film. Mais j'ai bien sur envie de garder ce blog dans une ligne épurée, et je me connais, je suis capable de m'éparpiller dans tous les sens, et à trop vouloir se montrer (son savoir, ses activités, son monde intérieur, ce n'est pas bon). Bien que je crève d'envie et que je crèverai d'envie de vous parler de ma table basse ikea, ma collection de plante (car je débute une collectionne) mon fanatisme pour mon balcon et ce petit jardinage, mon gnangnantisme devant les petites figurines pour enfant... Bref. Je crois qu'on se contentera d'un côté intellectuel déluré dans ce blog et que quelques rubriques concernant mes lectures et certains films seront les bienvenus. (Puisque après tout, l'imaginaire est certainement la seule chose qui sur le fond nous réconforte tous, alors permettons nous de rêver en histoire).

26 août 2013

Il y a un début.

tumblr_mhq19wDpNb1rjrrylo1_500Et bien voilà nous y sommes. Je commence un blog, moi, qui cherche temps à apparaître le moins possible sur la toile, car qui passe des heures sur la toile passe aussi des heures à ne rien faire de mieux donc est au final bien seul dans sa vie, du moins dans sa tête, et signifie qu'être ici ne va pas aider à rencontrer l'amour...

Mais queneni. J'ai décidé de tenir un journal intime, pour la seule et bonne raison que j'ai toujours voulu un journal intime sans jamais m'y être tenue, parce que je suis trop ouverte d'esprit et je m'éparpille sur trop de sujets différents, tenir un blog, mais pourquoi faire ? Parler de mes amis, de mon chat, étaler mon savoir ou mes robes de chez Zara et mes lunettes Rayban ?

Il faut savoir que je suis du genre intello dans mes passions, mais pas forcément de mon style de vie (quoi que je commence à me poser de sérieuses questions). J'ai pour habitude de lire des livres dont les hauteurs sont, en désordre Winnicott, Nietzsche, Cioran. Je savoure également très bien Beigbeider ou Despentes, mais je ne suis pour habitude, pas très roman. Peu arrivent à me satisfaire jusqu'à la fin. J'ai pourtant tenté cette semaine le roman d'amour à l'eau de rose - Si tant est que l'on peu l'appeler comme ça - Ce genre de roman féminin, drole, très drole, comme dans ces comédies romantiques où pullulent Hugh Grant et autre Tom Cruise. Et figurez vous que j'ai aimé. Je ne crois avoir jamais dévoré 500 pages aussi vite.

C'est alors qu'est née cette furieuse idée d'établir mon journal intime autour de mon célibat. J'allais devenir une de ces filles egocentrique, revant sur des contes de fées, n'étant pas déja assez difficile comme ça en la gente masculine...

 

 

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